parfum-d-opium

La faim attise les rêves

Samedi 22 décembre 2007 à 12:28

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JE NE SUIS QUE VACARME D'INDIFFERENCE
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Mercredi 21 novembre 2007 à 15:58

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Etant en état d'occupation préocupation depuis une bonne poignée de jours et de nuits, je ne puis consulter très souvent ma page.
Je remercie au passage ceux qui m'ont laissé des commentaires, j'y répondrai plus tard.
Pour le moment, j'retourne faire mon staying alive à la fac.
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Samedi 10 novembre 2007 à 23:51


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I had problems with my eyes
I was walking on the pavement
With these two balls in one hand
Swingin' around the lights
I couldn't see since i was blind
And stumbled against a pole
Making my eyeballs fall
Into a deep and filthy hole.

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"i dreamt i was a werewolf
my soul was filled with crystal light"

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Je sens le kebab "halal" à trois kilomètres, j'ai défait mes instincts créateurs pour en construire de nouveaux, j'ai passé ma semaine entière à observer les autres & terrifiée à l'idée de devoir m'exprimer devant tous je me suis tue, je ressemble à un cadavre dans une boîte de conserve illuminée, j'ai une machine à faire, et des manques à gagner.

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PS: LES MEDIAS VOUS MENTENT

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Nothing

Samedi 27 octobre 2007 à 11:40

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[Fashion advice: Le noir ça va avec tout, mais surtout avec le noir]
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Je ne suis pas productive. Je ne suis pas à ma place. Je suis juste silencieuse.
Je grince.
J'
importe peu. J'embrasse les gens qui pleurent. Je relève les bras qui tombent.
Je rouille.
Je
n'ai plus faim. Je ne sais plus le bonheur du contentement. J'expectore sans cesse.
Je tremble.
Je s
uis de glace. Je vampirise toute chaleur. Je subodore le vide.
Je me fige.

Destination finale: je transporte les autres vers l'insatisfaction.

Nothing
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Mardi 25 septembre 2007 à 12:08


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Essayer de se trouver des repères, réapprendre à écrire une ville inconnue, une vie inconnue. Des perspectives qui se créent puis s'estompent. Jouir de la musique dans les oreilles, du soleil qui fait ses dernières apparitions furtives.

S
e perdre dans des rues plus petites que soi, où l'on peut marcher dans la même direction pendant des heures sans recontrer aucun obstacle.

Des
foules puis des deserts humains, dans les venelles, sur quelques mètres carrés d'une place morte. Des grilles de fer et du béton à contempler, dubitative, devant toute cette expansion mécanique de ce qu'il y a à construire dans une cité encombrée de tout.

Des esc
alators que l'on prend plaisir à emprunter juste pour une ascension, une fuite sans effort vers les souterrains. Des tapis volants aux seuils des portes bardées de verrous et de serrures en tout genre.

Des p
aradis de la consommation où tout peut être trouvé, trop cher, acheté, gaspillé.

De lo
ngs silences inexistants, des ombres qui ne cessent de reculer, la lumière et le bruit envahissent et encombrent chaque recoin, à perte de regard, à perte d'ouïe, à perte d'olfaction, de goût, de sensation. À perte de tout, même d'humanité.

Le jou
r qui rétrécit comme peau de chagrin, et les astres toujours plus nombreux qui s'esclaffent toujours plus fort, toujours plus loin, jusqu'aux bords de la nuit pleine.

Nothing
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