parfum-d-opium

La faim attise les rêves

Jeudi 27 mars 2008 à 14:09

IN A DEATH LIKE TRANCE

on roule sur la ligne verte
les filandres brunes
se noient dans une neige de sève
solide
le vent est omniscient
sous la saveur chlorophylée
le froid monte aux yeux
dans les tubes de papiers



JE SUIS UN METRONOME DANS LA MATRICE


Ainsi soit-il. Je reprends le cour de mes expériences anti-réflexives, anti-productives, anti-imaginatives, anti-attrayantes. Banalisation, refoulement de la solitude. Je n'ai pas de grands mots à aligner, on créé peu quand on EST peu et qu'on vit beaucoup. On n'a pas le temps de s'attarder sur soi, ni sur quoi que ce soit d'autre.
La frénésie se suffit à elle-même.

NOTHING

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